A Propos

Hello ! Bienvenu sur mon blog.

Ici c’est avant tout l’histoire de nos travaux, mais c’est aussi mon carnet d’inspiration, un lieu de découvertes, d’échange et de partage. Si vous avez des questions, des conseils, ou simplement pour dire bonjour, n’hésitez pas à me contacter 🙂

COMMENT TOUT A COMMENCÉ…

Il y a 5 ans, nous étions un peu serrés dans notre appartement parisien. Nous rêvions d’espace, de verdure, de voir l’horizon et de pouvoir tremper les pieds dans le sable de temps en temps après le boulot sans devoir surmonter plusieurs heures de route et les embouteillages du dimanche soir.

Notre budget étant assez serré, nous n’avons pas vraiment cherché une maison, mais plutôt « quelque chose » de bien situé que l’on pourrait transformer.

Et puis un jour.. on s’est lancés. Notre petit appartement s’est vaguement agrandi… sur les bords de Loire de la campagne Nantaise. Pour que notre cabane devienne royale, il y avait pas mal de boulot. C’était le début d’un périple assez fou, d’une aventure où l’on a plongé à deux sans trop réfléchir (heureusement !), d’une vie un peu différente, mais qu’aucun de nous ne regrette jusqu’à présent.

Après 4 ans d’aller-retours, de travaux en dents de scie et d’arrêts de chantiers, nous y habitons enfin et entamons une transition vers une vie plus simple, plus saine… plus frugale.

Si vous souhaitez reprendre la lecture depuis le début, c’est par ici.

POURQUOI ROYAL CABANE ?

J’ai d’abord commencé ce blog comme un carnet de bord pendant les travaux de transformation de notre maison.

Puis, j’ai commencé à vouloir parler aussi d’autre(s) chose(s) : des constructions qui m’inspirent, des intérieurs que je trouve plutôt cool, de jardinage, d’économie, de récup’, de réemploi, d’autonomie…

Royal Cabane, c’est un peu le luxe de la simplicité. Bref, ce blog parle encore de travaux, mais aussi de choses qui me touchent au quotidien, dans un esprit low-tech et une démarche minimaliste.

QUI SUIS-JE ?

Je suis architecte, parfois paysagiste.

J’oriente mes réflexions autour de la question frugale, de la durabilité des choses, sur la récupération et le détournement d’objets.

Je suis aussi convaincue qu’il faut accepter la part d’aléatoire de ce qui est déjà là, et je n’adhère pas aux démarches faisant table rase de l’existant. Travailler sur l’existant c’est inventer une histoire à chaque projet, continuer l’architecture existante, la transformer, la réutiliser… permettre de créer des liens qui tissent le passé avec le présent.